Celine
Hugues
Aufray
Dis
moi,
Céline,
les
années
ont
passé.
Pourquoi
n'as
tu
jamais
pensé
à
te
marier
?
De
tout'
mes
sœurs
qui
vivaient
ici,
Tu
es
la
seule
sans
mari.
Non,
non,
non,
ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
as,
tu
as
toujours
de
beaux
yeux.
Ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
aurais
pu
rendre
un
homme
heureux.
Dis
moi,
Céline,
toi
qui
es
notre
aînée,
Toi
qui
fus
notre
mèr',
toi
qui
l'as
remplacée,
N'as
tu
vécu
pour
nous
autrefois
Que
sans
jamais
penser
à
toi
?
Non,
non,
non,
ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
as,
tu
as
toujours
de
beaux
yeux.
Ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
aurais
pu
rendre
un
homme
heureux.
Dis
moi,
Céline,
qu'est
il
donc
devenu
Ce
gentil
fiancé
qu'on
n'a
jamais
revu
?
Est
c'
pour
ne
pas
nous
abandonner
Que
tu
l'as
laissée
s'en
aller
?
Non,
non,
non,
ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
as,
tu
as
toujours
de
beaux
yeux.
Ne
rougis
pas,
non,
ne
rougis
pas.
Tu
aurais
pu
rendre
un
homme
heureux.
Mais
non,
Céline,
ta
vie
n'est
pas
perdue.
Nous
sommes
les
enfants
que
tu
n'as
jamais
eus.
Il
y
a
longtemps
que
je
le
savais
Et
je
ne
l'oublierai
jamais.
Ne
pleure
pas,
non,
ne
pleure
pas.
Tu
as
toujours
les
yeux
d'autrefois.
Ne
pleure
pas,
non,
ne
pleure
pas.
Nous
resterons
toujours
près
de
toi,
Nous
resterons
toujours
près
de
toi.
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